…En nous ouvrant ses bras, le cinéma nous a montré ce qu’il a sans doute de plus beau, ce qu’il est et ce qu’il demeure : une incroyable et passionnante aventure humaine…
… On l’a plus souvent applaudi parce qu’il faisait rire que pleurer. Peu soucieux, au fond, de plaire à ceux qui considèrent que rigoler au théâtre est suspect sinon malvenu et pour qui le Boulevard demeure infréquentable…
… Un club, une boîte, un hangar, une usine. Un lieu incroyable, zébré de lumières, baigné de musique et de sons, qui invite à la danse, à la transe ou à la contemplation. L’expo Electro vient de nous cueillir. On n’a rien vu venir…
… Quand Alain Figlarz passe en mode badass, même la plus brûlée des têtes de dur rentre chez sa mère. Une gueule qu’on n’oublie pas, comme le cinéma les aime depuis au moins Lino Ventura…
… En réalité, Dionnet est déjà un monde à lui tout seul. Puisque celui qu’on lui proposait était gris et trop étroit, il n’a eu de cesse de bâtir le sien, à la démesure de ses rêves…
… De ses premiers émois à son éclosion, le récit ardent et sincère de son chemin vers la découverte de son corps et de son propre plaisir. On n’avait pas croisé de plume aussi libre de dire depuis longtemps…
… Avec le Monde de Jalèya, Cirque de Paname s’apprête à écrire le premier acte de ce qui s’annonce déjà comme une belle histoire. Son fondateur, le bouillonnant Ludovic Marcato, en rêve depuis toujours…
… trouvant à chaque fois le morceau qu’il fallait au moment où il fallait, il passait du rock à la soul, du funk à la vieille chanson française mais en swing dans le texte et tout le monde dansait et jamais ça ne retombait…