L'alcool adoucit chez certains la morsure du confinement. Il a aussi su inspirer des chansons sublimes qui parlent de solitude et de tristesse. Morceaux choisis aux extraits naturels d'excès.
Le confinement est toujours en place. Il se poursuit sans cesse, sans fin. Certains en profitent pour se cultiver. D’autres tentent de se faire connaître par le biais de chansons ou de sketches, plus ou moins ratés, qu’ils diffusent à fond sur YouTube. Pourquoi pas ? Grégoire, massacreur d’Oasis en chef sur les pianos de la SNCF, a bien réussi à se faire repérer sur Internet après tout…
Il y a aussi ceux qui prennent des résolutions du genre : «Après le confinement, je me mets une mine en boucle sur deux jours !» Résolution à laquelle certains membres de l’équipe de Paris Bazaar ont déjà souscrit. Et il y a aussi ceux qui se sont dit : «Et puis merde. Que je sois à la Contrex ou à deux grammes, qu’est ce que ça peut foutre ?... Je m’y mets maintenant !»
S’il y en a un qui parlait bien de la picole, avec une classe hors normes, dans une ambiance feutrée et douce malgré un univers d’une noirceur à faire pâlir un fan de Stephen King, c’est bien Boris Vian. Cinq ans après la parution...
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