Paris Bazaar a grandi et veut grandir encore !

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Créé en juillet 2018, Paris Bazaar, sans bruit et tout à sa gourmandise, n’a cessé de se développer. Le moment est venu pour nous d’envisager la suite de son histoire. Elle ne s’écrira qu’avec vous.

Vous nous lisez de temps en temps, régulièrement, assidûment, parfois impatiemment. Vous nous lisez surtout de plus en plus.

En France, vous nous lisez à Paris, Rouen, Lille, Metz, Strasbourg, Orléans, Clermont-Ferrand. À Nantes, Bordeaux, Besançon, Toulouse, Lyon, Nice, Marseille, Aix-en-Provence, Montpellier, Perpignan, Ajaccio…

Vous nous lisez aussi au Royaume-Uni, en Norvège, en Allemagne, en Suisse, en Espagne, en Italie, en Pologne. Aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Argentine, au Brésil. Au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Maroc, en Tunisie, en Algérie, en Israël. En Inde, en Australie, au Japon et à Hong-Kong… Et de vingt-cinq à plus de soixante-cinq ans, vous êtes autant d’hommes que de femmes à nous être fidèles.

Vous dire qu’on s’y attendait serait vous mentir. On en rêvait bien sur mais c’est vous qui, semaine après semaine, mois après mois, êtes venus nous donner raison. Pour ça, merci ! Merci mille fois !!

Paris Bazaar est né au coeur de l’été 2018. D’une envie toute simple et partagée par une petite bande de garçons tous différents mais qui avaient en commun de ne pas bien savoir marcher dans les clous et qui voulaient donc écrire les articles qu’ils auraient eux-mêmes envie de lire. Sans qu’on leur impose quoi que ce soit. Les sujets, la longueur et le ton des articles, les photographies… ici, chacun serait libre.

Pour ceux qui parmi nous avaient connu ou connaissaient encore les figures qu’imposent une rédaction en chef, en permanence scotchée sur l’actualité, il y avait là comme une promesse de grande bouffée d’air frais. Se profilait un chemin certes incertain mais charmant et buissonnier qui ne pouvait que nous séduire.

Au premier temps de sa valse, Paris Bazaar était donc un quatuor. Olivier Daudé, Jean-Marie Marion, Olivier Ghis et Laurent Borde. Ils ont ainsi commencé à vous proposer leurs drôles de musiques. Laurent Caron, le temps de quelques séquences filmées, est lui aussi venu s’intercaler. Des filles se sont parfois jointes à eux, le temps d’un article ou deux : Laurence Wurtz, Adeline Anfray, Rosemary et Louise Long.

Et puis la bande, tout doucement, s’est étoffée avec l’arrivée notamment de Francis Basset, le fameux Rock’n’Râleur et de Xavier Berlingen, le Marathonien Mélomane. Plus récemment, Nicolas Briançon a pris l’habitude d’écrire des lettres magnifiques à une certaine « C », tandis que Boris Bergman depuis son Isba prend régulièrement le temps de se souvenir. Le même Boris qui est d’ailleurs en train d’ourdir un feuilleton comme à la grande époque mais en plus rock, en plus gonzo… en plus Bergman, quoi. Vous allez aimer.

Depuis plus d’un an, chacun d’entre nous, chaque semaine, a rendez-vous avec sa page blanche. Tous ces papiers que vous lisez, ces artistes que vous rencontrez ou redécouvrez, ces belles musiques, ces grands souvenirs et ces moments singuliers que nous vous proposons et que nous partageons avec vous demandent du temps. Et du travail.

Nous avons pour chaque mot que nous écrivons, chaque interview que nous réalisons, chaque séance photo que nous organisons, chaque article que nous publions, une exigence dont nous avons envie de croire qu’elle est au minimum à la hauteur de votre curiosité et de votre fidélité.

Après maintenant une année, quelques mois et près de trois cents articles, le moment est venu d’écrire la suite de l’histoire. Nous pensons comme vous que la gratuité trouve fatalement ses limites et qu’un papier de qualité a de toute façon un coût. Sans nous fermer à des partenariats ponctuels avec des lieux de culture ou des évènements, nous n’avons pas envie de voir fleurir sur les pages de notre joli site des bouquets même choisis de pubs intrusives et tapageuses. Nous ne voulons pas non plus écrire pour le plus offrant. Nous voulons rester libres de nos choix et de nos mots.

Paris Bazaar, en ce mois de giboulées et pour s’offrir de beaux printemps, va donc logiquement devenir payant.

Rien d’excessif. Rien de dissuasif. Suffisamment de quoi développer d’autres projets, rémunérer ses auteurs même s’ils ont le sens de la frugalité, ainsi que celles qui, en coulisse, travaillent pour que Paris Bazaar reste ouvert nuit et jour, accessible à toutes et à tous. En ville, à la campagne, en mer comme à la montagne, dans le bus comme dans le métro.

Nous pensons ici à notre community-manager, Mégane Vialet de l’agence Dis-Leur, à nos côtés depuis le début. Et à notre développeuse, Fleur Tourvieille de l’agence Mooverflow. Preuve si besoin était que des mecs même talentueux sans des meufs créatives et avisées pour les conseiller ne vont pas bien loin…

Il vous sera proposé dans les prochains jours, pour le prix de deux cafés parisiens… et encore, de vous abonner au mois ou plus. Certains de nos articles resteront libres d’accès. Et Paris Bazaar restera de toute façon moins cher qu’un paquet de cigarettes, dont on sait qu’elles font du mal aux poumons alors que Paris Bazaar fait du bien au cerveau.

Vivant, différent, chic et populaire, à la fois anachronique et dans l’air du temps, souvent décalé mais toujours au plus près des artistes dont il choisit de parler, Paris Bazaar n’est qu’au premier acte de son histoire. Et si ensemble, nous allions plus loin ? Et si avec vous, nous écrivions le prochain et tous les autres ?

La Bande de Paris Bazaar

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