… « D’entrée le titre intrigue. On cherche à quoi correspond l’idiome » je l’ai entendu à travers la vigne » qu’on peut traduire par » j’ai entendu dire que » . Et la chanson dit en gros : « y’a un bruit de chiotte comme quoi je suis cocu. » Et du coup, cette chanson me rend triste, parce que j’imagine la peine du mec remplacé par un autre. Au pied levé. À verge levée, plutôt. » …
… « Quand j’entends le gimmick d’intro de » Let’s Dance » de David Bowie, je pense qu’à chaque fois que j’ai entrepris de danser je me suis senti con. Au milieu de la piste à bouger comme un con, je me sentais observé comme si j’étais en slip kangourou avec une couille qui dépasse de la poche. » …
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… « Dans cette époque si tendue, essayons de fermer les yeux et de penser à des choses, malgré tout, agréables. Comme à ces fqestival qui se dévoilent et déjà nous régalent ! À tout seigneur, tout honneur, commençons par un des festivals les plus réputés en Europe, voire au monde, le Hellfest ! » …
… « In summertime, in summertime… Hé non, t’es plus en été. Accepte l’automne, Gilbert. Et l’hiver qui va suivre aussi. Arrête de freiner. Laisse tomber le come-back au printemps, ça te va pas les primevères. » …
… « Ce gimmick de « Boom Boom Boom Boom » , qui était un des tout premiers tubes des Animals, me rappelle que c’est le premier gimmick que j’ai appris à la guitare avec celui, incontournable de What’ d I Say. Un classique de l’apprentissage de guitare de ma génération.
Et la guitare, je la dois à un cousin de mon père qui s’appelait Pierre Perrin, qui s’était rendu célèbre avec une chanson un peu déjantée pour ces années 60, « Le Clair de Lune à Maubeuge » . » …
… « Ce gimmick de « Ticket To Ride » des Beatles me remet en mémoire mon premier chagrin d’amour. Elle s’appelait Jacqueline et c’était la meilleure amie de ma grande soeur. J’avais 16 ans, elle en avait 20. Et moi je la couvais du regard, impressionné par son allure de déjà femme. » …
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… « À chaque fois que je me retrouve à attendre quelque part et que ça ne décoince pas devant moi, que ça n’en finit pas de palabrer, j’ai ce gimmick de Blood Sucker de Deep Purple qui m’arrive à l’esprit. C’est un gimmick d’urgence, de dégagez bordel, qu’on en finisse. » …
… « Épaves aussi ceux qui tombaient en digue digue pendant les cross ou les tours de stade, et surtout ceux qui fumaient et jouaient aux cartes le midi au foyer. C’est là que j’ai entendu ce titre, Midnight To Six Man, pour la première fois sur l’électrophone du foyer. » …
… « Chaque fois que j’entends ce gimmick de « Born On The Bayou » de Creedence, je me débranche de la connerie ambiante et je me rapproche de la vérité de la nature sauvage. J’entends encore mon vieux chien de chasse aboyer. La vérité des bestioles loin des gros malins télévisuels qui s’agitent désespérément dans leurs vérités en stuc. Politicards dérisoires et vénéneux, bien plus dangereux que les alligators du Bayou. » …
… « Pour Baudelaire, le Beau doit être un peu monstrueux. Pour Sartre, l’existence précède l’essence. C’est vrai qu’il y a une vie avant de faire le plein, surtout au prix affichés aux pompes. Etc, etc… Tout le monde a fait sa petite popote. Everybody Wants To Rule The World. » …
