Artistes français et internationaux ont leur place sur Paris Bazaar. L’actualité musicale est riche et foisonnante, nous nous intéressons à tous les genres. On ne peut jamais parler de tout le monde. Nos choix sont donc sélectifs. Mais ce que nous aimons, ce sont les artistes authentiques à l’oeuvre singulière.
Et parce que nous aimons aussi les histoires, depuis peu, une figure de la création musicale nous livre ses souvenirs hauts en couleurs… « La Bande Originale d’un Rock’n’Râleur », c’est l’envers du décor, les coulisses du métier. Ça ne manque pas de piquant et ça vaut le détour.
… En écoutant tous ces titres, on réalise davantage ce qu’on savait déjà. Le « son » des Stones est reconnaissable dès la première seconde. Et c’est là, que l’on comprend mieux pourquoi ces gars-là sont devenus l’un des groupes majeurs de l’histoire de la musique moderne…
… Et là, les yeux hagards et les mâchoires crispées, il cherche quelque chose. Il trouve une punaise. Il la défait, demande sa main à la femme, mais pas pour l’épouser, et lui enfonce la punaise dans la paume. La femme fond en larmes, d’humiliation et de douleur…
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Dominique zardi, dans le cinéma des années 70, c’était le porte-flingue des Gabin, Delon, Ventura, Belmondo, André Pousse. C’est 50 ans de cinéma dans le métier à l’ancienne. C’est le gouailleur, le castagneur au crâne nu. Sa devise : « Mieux vaut un petit rôle dans un grand film qu’un grand rôle dans un film sans intérêt.
Jean-Louis Murat ne laisse jamais indifférent. Gros connard pour certains, génie et poète pour les autres, l’Auvergnat ne fait pas dans la tiédeur ! Et c’est tant mieux ! Avec son nouvel album intitulé Innamorato, il prouve surtout qu’il est un musicien et arrangeur génial !
Je faisais les baloches avec mon groupe de l’époque, je ne sais plus lequel, j’ai tellement fait de baloches et tellement fait de groupes ! On cherchait un batteur. On été allés « t’auditionner » dans ton fief à Dieppe, ou aux alentours. T’étais là avec ta batterie toute neuve, toute rouge rutilante (Ludwig ?), tout beau tout blondinet derrière tes toms et tes cymbales.
Au moment où des pseudo rappeurs sortent des albums inutiles, enrichis aux extraits frelatés d’auto-tune, des artistes tiennent à rendre hommage à celui qui leur a ouvert la route. Il s’appelait Jacques Brel.
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Samedi 13 avril, je suis allé voir Bob Dylan au Grand Rex. J’y suis allé avec dans l’âme et la mémoire tout le packaging de ses chansons magiques qui ont jalonné ma vie : I want You, Subterranean Homesick Blues, Just like a Woman, The Story of the Hurricane et tant d’autres merveilles. Il n’en a interprété aucune en deux heures.
Il reste un rocker en France ! Il est indestructible, inépuisable, invincible. Il ne vient pas d’une autre planète mais seulement, et plus modestement, du Jura. Son nom ? Hubert-Félix Thiéfaine !
Prodige et virtuose, son talent et son travail ont longtemps valu à la pianiste Lydie Solomon d’enviables adjectifs. Aujourd’hui, l’artiste rejoint la femme et goûte enfin à la plénitude.
Ticky Holgado nous avait contactés, Langolff et moi, pour qu’on lui écrive un album rock. Il était venu à Rouen, où Franck avait un studio d’enregistrement auquel il était fidèle, le studio Quasar, où d’ailleurs Vanessa Paradis avait enregistré Joe le Taxi.
