… « Ce voyage en terre inconnue de quelques heures à la Paris Games Week était très enrichissant. On se rend compte que les jeux ne sont plus de simples amusements mais qu’ils font désormais partie intégrante d’un mode de vie. Entre le 2 et le 6 novembre derniers, 150 000 personnes, souvent passionnées, se sont rassemblées autour des 117 exposants pour célébrer le jeu vidéo. » …
… « En chantant ce titre « Cocaïne » , Clapton prononce « coquine ». Et bien sûr, chaque fois que j’entends ce gimmick je pense à des nanas portées sur le rodéo à moustaches sans en avoir l’air. » …
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… « On avait connu Sofia Essaïdi glamour et pailletée. Avec « Overdose », on la découvre fauve et sans fard. Comme chez elle dans le Polar. Tout à la fois, émouvante, forte et lumineuse en noir. » …
… « Nana dont l’anagramme s’écrit Anna, est incarnée par la sublime Anna Karina. Coiffée à la Louise Brooks et à peine âgée de 21 ans, l’actrice tient peut-être le rôle le plus émouvant de sa carrière dans ce film-bijou, en noir et blanc, sélectionné et récompensé deux fois à la Mostra de Venise. » …
… « Ce titre de Larry Williams, « Slow Down » , repris par les Beatles en 64, me fait penser que la lenteur c’est l’ennemi des imposteurs et des escrocs. Prendre le temps de lire, de revenir sur un paragraphe, de s’imprégner d’une phrase, de réfléchir, de se dire « oui, mais alors.. » Hou, qu’ils n’aiment pas ça ! Les meneurs de Panurge, les abrutisseurs de masse. » …
… « C’est jazz, c’est modern, on pense à Bob Fosse. C’est urbain, électro et claquettes à la fois, on pense à Steve Reich, Massive Attack et à Gene Kelly. C’est Rachline. Et c’est beau et bon comme un trip hip-hop sur la 42é ! » …
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… « Ce gimmick du titre de John Mayall et les Bluesbreakers, « You Don’t Love Me » , a toujours résonné en moi comme l’amour non réciproque. « You Don’t Love Me » , tu ne m’aimes pas… C’est terrible comme constat. » …
… « Chaque fois que j’entends ce titre, je me dis que j’ai eu plein de moments dans ma vie où je me suis cru né « Under a Bad Sign » . À chaque fois, je me dis : « Pourquoi ça m’arrive à moi !? » …
… « Penser et raconter des histoires, imaginer des personnages, les faire dialoguer et leur inventer un langage, voilà ce qui fait rêver cet homme rendu à sa liberté de créer. Voilà ce qui le remue et fait sa joie. » …
… « Publiée trois ans avant la mort de Romain Gary, en 1977, et adaptée très fidèlement par Costa-Gavras lui-même, cette histoire d’amour romantique pose la question de l’entraide et de la fraternité amoureuses au sein du couple. En effet, Romain Gary, pour qui le couple est « l’unité de mesure organique de la vie » et « son cri cellulaire », pose la fraternité comme une symbiose amoureuse, au-delà même de la sexualité. » …
