Avec Paris Bazaar, vous prenez le temps de la rencontre. Célèbres ou encore peu connus, dans l’actualité comme à la marge, quel que soit leur champ créatif, les artistes chez nous racontent qui ils sont, ce qu’ils font, ce qui les passionne. Sincèrement. Généreusement.
… « Dans cette époque si tendue, essayons de fermer les yeux et de penser à des choses, malgré tout, agréables. Comme à ces fqestival qui se dévoilent et déjà nous régalent ! À tout seigneur, tout honneur, commençons par un des festivals les plus réputés en Europe, voire au monde, le Hellfest ! » …
… « Il faut parfois de longues années avant que le talent de la création soit reconnu sans qu’il y ait même une ombre d’ambiguïté. En 1986, vous créez ce qui reste aujourd’hui encore l’une des plus belles réussites de l’histoire radiophonique : Europe 2. Nombreux se reconnaissent comme frères parce que fiers d’avoir vécu à vos cotés la folle et merveilleuse aventure d’Europe 2. » …
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… « Geoffrey Arnold Beck, de son vrai nom, n’était pas un simple guitariste. Il avait la six cordes vissée au corps. Comme une espèce de greffe naturelle dont il ne pouvait ni n’avait l’envie de se séparer. Il suffit d’écouter « Ice Cream Cakes » , « Sugar Canes » , ou la reprise de l’instrumental « I Can’t Give Back The Love I Feel For You » pour se rendre compte que le guitariste anglais savait tout faire et maîtrisait parfaitement toutes les techniques. De la wah wah au vibrato, en passant par la distorsion. » …
… « Stéfane Mellino lance simplement « Vous savez tous à qui est dédiée cette chanson », à la fin du sublime Face À La Mer. Une façon classe de rendre hommage à Helno dont l’ombre planait au-dessus des 495 personnes qui remplissaient La Maroquinerie jusqu’à la gueule. Toujours aussi proches de leur public, Les Négresses s’amusent. Ils font aussi participer tout le monde en disant qu’à Paris, c’est le seul endroit où on sait chanter « Laï Lo Laï » « …
… « Puis c’est au tour de l’Idole d’arriver. Le public n’exulte pas, il explose, ravi de voir Robert Smith débarquer. Tout en noir, il arpente lentement la scène de gauche à droite, profite de la longue intro d’Alone, nouveau morceau, pour regarder le public. » …
… « On avait connu Sofia Essaïdi glamour et pailletée. Avec « Overdose », on la découvre fauve et sans fard. Comme chez elle dans le Polar. Tout à la fois, émouvante, forte et lumineuse en noir. » …
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… « C’est jazz, c’est modern, on pense à Bob Fosse. C’est urbain, électro et claquettes à la fois, on pense à Steve Reich, Massive Attack et à Gene Kelly. C’est Rachline. Et c’est beau et bon comme un trip hip-hop sur la 42é ! » …
… « Penser et raconter des histoires, imaginer des personnages, les faire dialoguer et leur inventer un langage, voilà ce qui fait rêver cet homme rendu à sa liberté de créer. Voilà ce qui le remue et fait sa joie. » …
… « Rares sont les artistes qui savent se renouveler. Kent fait partie de ceux-là. Toujours surprenant, étonnant, il fait partie du cercle très fermé des grands artistes français. Son univers, ses textes et ses mélodies font de lui un artiste précieux. » …
… « Hendrix, certains ne l’aimaient pas parce qu’il se bourrait le pif et picolait. Il est d’ailleurs mort etouffé par son vomi. Au moins, lui a eu cette pudeur-là. Y’en a beaucoup qui dégueulent sur tout et sur tout le monde et qui font de vieux os. » …
