Spectacles
Eva Rami : Quand le Théâtre fait le Sens d’une Vie
… « T’es Toi ! parle de théâtre, certes. Mais parce qu’elle aime profondément son art et qu’elle le sert avec intelligence et générosité, Eva Rami nous offre aussi la chance d’un reflet dans le miroir de nos propres existences. Nous rappelant que nous sommes nous aussi les fruits de notre enfance, de nos rêves, de nos doutes et de nos deuils » …
VOUS AIMEZ ? REJOIGNEZ-NOUS ET ABONNEZ-VOUS !
DÉCOUVREZ MAINTENANTRosemary au Festival d’Avignon : au Bonheur des Retrouvailles !
… « Après ces deux ans qui m’ont paru durer un siècle, j’ai enfin pu me perdre avec joie dans cette si jolie Cité des Papes que je fais mienne depuis au moins mes vingt ans. C’est dire si cette semaine, les retrouvailles ont été intenses. Comment le dire mieux ? Elles ont eu la saveur et le parfum des premières fois ! »
Journal d’une Pandémie : Seuls sans Scènes-1
… « Préférer ouvrir les commerces plutôt que les salles de théâtres, de concerts ou de cinémas au prétexte que la circulation des populations affluant vers ces lieux serait trop dangereuse. Par cette décision, le gouvernement a réussi l’exploit de délivrer un message à la fois incohérent et terriblement limpide : les spectateurs sont plus dangereux que les consommateurs »…
Thierry Outrilla : le Moulin de son Coeur
… Comme pour Maurice Chevalier, Jean Gabin, Bourvil, Mistinguett, Joséphine Baker, Zizi Jeanmaire ou Line Renaud avant lui, le music-hall a été son autre école. Une école de la vie. Il est heureux aussi de pouvoir se dire qu’il a fait le même métier que la Goulue, « une femme que Toulouse-Lautrec a rendue aussi célèbre que la Joconde »…
Andrée Deissenberg : au Bonheur des Dames
… Andrée pense aujourd’hui que c’est en grande partie sa candeur et son inconscience qui ont rendu l’aventure possible. Le passé prestigieux du cabaret n’était pas le sien. Elle n’était pas non plus parisienne. Elle a avancé sans baisser les yeux et bousculé le sage ordonnancement du temple assoupi…
VOUS POUVEZ NOUS ENVOYER UN MESSAGE ALORS N'HESITEZ PAS
CONTACTEZ-NOUSPermettez que je vous écrive… Madame Roselyne Bachelot
Mario Luraschi : le Cavalier Éclectique
Permettez que je vous écrive… Madame Pietragalla
… « Vous, Madame, vous nous avez donné, sans rien attendre en retour, le ressenti du confinement derrière la fenêtre. Une chorégraphie sans fard dans la simple lumière du jour. Un instant suspendu. À vous regarder danser, par écran interposé, nous entendions tous ces maux qui étaient les nôtres. Grâce à vous, par vos pas, ils devenaient plus légers, plus supportables »…